Sandrine Mawart travaille dans la gestion du patrimoine. Elle est membre de Follow Our Track depuis un an. Pour elle, les entraînements de course à pied ont longtemps été un échec. Aujourd’hui pourtant, elle raconte dans ce podcast de la série “Track Your Trail” comment cet échec a été une invitation à se dépasser et à continuer le Trail. Un podcast réalisé par followoutrack.fr
Dans cet épisode de Track Your Trail, Follow Our Track interview Sandrine Mawart. Cette interview a été réalisée au téléphone, dans les studios de CFM Radio.
Sandrine a 46 ans, elle pratique le Trail depuis 2017. Si aujourd’hui, elle s’apprête à commencer l’Ultra-Trail, ses entraînements de course à pied n’ont pas toujours été faciles. “Au départ, je ne pouvais pas courir cinq minutes sans être malade“, assure la Traileuse. Mais cet obstacle, loin d’être un échec, a été pour elle une opportunité de se dépasser.
Après avoir réalisé quelques courses, dont le Marathon de Paris en 2019, Sandrine a décidé de s’atteler au Grand Trail Nocturnes des Hauts de France. Dans le récit qu’elle en a fait pour Follow Our Track, elle décrit l’ascension des terrils – un parcours boueux et très technique – en assurant que cette expérience reste magique. D’aucun pourrait s’en étonner, mais pour Sandrine Mawart, “dans ce sport, plus c’est difficile, plus tu en retires de la satisfaction“. Le dépassement de soi est en effet ce qui l’a attirée vers cette discipline.

la Teameuse a changé d’entraînement après s’être blessée en 2019. Elle s’appuie aujourd’hui sur la méthode du livre “La Clinique Du Coureur”, qui préconise des temps d’entraînement courts. Elle fait donc plusieurs sorties par semaine d’une trentaine de minutes. Cependant, une fois par mois elle s’autorise une sortie longue de trois heures.
Au delà de la course, Sandrine a d’autres hobbies : elle adore cuisiner. Des recettes qu’elle partage sur son compte Instagram, sur lequel elle a déjà plus de 7 500 abonnés. Une manière pour elle de profiter de l’entraide sur le réseau pour s’encourager mutuellement. C’est d’ailleurs cette solidarité qui l’a attirée vers ce sport.
En somme, Sandrine est une femme qui garde la tête froide. Elle n’en finit pas de persévérer tout en acceptant ses limites.
Nous vous invitons à découvrir cette interview et nous espérons qu’elle vous inspirera autant que nous !